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Balade d’un artiste à un autre. L’art contemporain s’est installé dans les rues de Mons, la capitale européenne de la culture 2015. Il a déboulé dans les rues et s’est échappé des musées, révélant une ville jeune, dynamique et imaginative, comme j’ai pu le constater. Je disposais d’une petite journée pour découvrir cette ville belge et je pensais que c’était bien suffisant. Mais dès que j'y suis entrée, je ne savais plus où donner de la tête.

La planète pour se nourrir. La terre pourra-t-elle indéfiniment nourrir les humains qu’elle porte ? La question hante les allées et les pavillons de l’exposition universelle de Milan. Ce thème d’Expo Milano 2015 ne m’a pas toujours sauté aux yeux dans tous les pavillons.
Cet aéroport tout neuf est le nec-plus-ultra architectural et technologique des grands hubs internationaux. Il est un des derniers grands aéroports mondiaux à avoir été ouvert, il y a un an. J’avais déjà effectué des transits dans de nombreux grands aéroports. J’ai découvert ce nouvel aéroport Hamad International de Doha au Qatar à deux reprises entre des vols, venant d’Europe pour partir en Asie puis dans le sens inverse. Mon impression a été paisible.
Grand écran nature. Dès le premier regard depuis la terrasse de notre chambre, je suis immédiatement saisi par une vision panoramique stupéfiante. « Lanjia », m’explique tout de suite le responsable de ce lodge de la montagne thaïlandaise, signifie « paisible » en Hmong, l’ethnie principale du village de Kiew Karn où ce voyage nous a conduits, près de Chiang Khong. « Paisible », jamais un lieu n’a aussi bien mérité son nom !
Dans les plaines d’Asie centrale l’hiver est rudement froid. Au cours de deux voyages en Ouzbékistan, j’ai expérimenté sa violente froidure, avec l’impression que toute la Sibérie avait glissé vers le sud. Les Ouzbeks s’emmitouflent dans plusieurs étages et épaisseurs de châles, de manteaux parfois tout noirs, parfois de couleurs étonnamment vives, dans des fourrures, sous des bonnets ou des toques de tous poils… Certains ont l’air frigorifiés mais jamais coincés. Beaucoup sont extrêmement souriants.

Balade dans la statuaire. La petite sirène n’est pas la seule à Copenhague. Elle a des rivales. J’en ai croisé au moins une, une statue de femme nue, beaucoup moins star et bien plus discrète. Elle n’attire pas les foules mais elle est là un peu délaissée dans un jardin au coin de la Gyptothèque. Et puis il y a aussi la déesse Gefion sur une monumentale fontaine.

Le voyage exorcisant. Cet album d’Hergé est un grand trekking dans l’Himalaya. On s’y croirait. Beaucoup de trekkeurs connaissent les vertus thérapeutiques de longues, rudes et harassantes randonnées. J’ai personnellement vécu l’effort et le dépassement de soi permettent de faire le vide dans sa tête, de conjurer ses peurs ou ses angoisses et qui exigent de garder du souffle dans la durée.