La vida es un carnaval. Ce qui m’a frappé en ouvrant ce blog, c’est la bonne humeur, les sourires, les couleurs et la vie qui emplissent ses pages. Comme le dit la chanson de Celia Cruz, une grande chanteuse cubaine citée sur ce blog : « la vida es un carnaval ». Ça se voit ! Sans avoir besoin des photos-clichés habituelles de Cuba avec des voitures des années 50 et les façades colorées du Malecon à La Havane.
Au ras des yeux des caïmans. 1 heure 30 de route au départ de Cayenne, par une route en cul de sac qui tournicote vers le fond de la forêt amazonienne et nous voilà plongés dans une nature absolument vierge. Nous nous retrouvons complètement isolés du monde, dans cette réserve naturelle géante que sont les marais de Kaw.
La ville en habit rouge. La première chose qui m’a frappé à mon réveil en ouvrant la fenêtre de mon hôtel au centre du vieux Cuenca est l’uniformité des toits de tuiles d’argile rouge qui recouvrent toute la ville ancienne, une cité classée au patrimoine mondial de l’Unesco. C’est pour cette raison, m’a-t-on dit, que Cuenca aurait été surnommée « la ville rouge ». J’avais ressenti la même impression d’authenticité devant les toits rouges de Dubrovnik, de Bologne, de Trinidad de Cuba ou de Tallin.
Voyage aux portes du ciel. J’avais déjà été impressionné par les quartiers de maisons de bois de Panamaribo la capitale du Suriname. Mais parmi près de 300 maisons et édifices locaux classés au patrimoine mondial de l’Unesco, cette cathédrale St Petrus en Paulus toute en bois, est le monument le plus éblouissant !
La ville en bois. Dans ce petit pays d’Amérique du Sud au climat tropical torride, j’ai été surpris et émerveillé de découvrir des quartiers entiers de maisons anciennes toutes en bois. Bien que dans son histoire de nombreux incendies aient ravagé cette capitale de l’ancienne Guyane néerlandaise, il reste beaucoup de rues toutes en bois notamment le monumental Waterkant (promenade au bord du fleuve). Elles sont habitées, soignées et le plus souvent correctement entretenues et peintes, généralement en blanc, mais parfois de couleurs vives.
Le voyage comme priorité. Ils représentent l’insouciance spontanée de deux jeunes étudiants à la recherche de « ce sentiment incroyable d’évasion » qu’ils décrivent dans leurs périples depuis 4 ans. Tifaine et Hervé, suisses romands, sont jeunes (22 ans) et ont encore beaucoup de pays à découvrir. Mais leur blog avec un look de planisphère d’explorateur raconte déjà des histoires d’Afrique australe, de Thaïlande, d’Europe et d’Amérique latine.