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Stockholm sur ses îles est une ville très chaleureuse malgré son climat nordique. Elle ne se repose pas sur son histoire mais reste jeune, tendance, design, artistiquement développée et socialement avancée. J’ai vraiment aimé le week-end déstressant que j’y ai passé en la parcourant à vélo, à pied, en bus, en métro, en bateau avec un grand bonheur, au moment où la douceur revient et où la lumière des jours s’allonge et révèle ses jolies couleurs.

Pages d’histoire. Quand j’ai découvert la place rouge à Moscou, elle était à peu près comme je l’avais imaginée, immense, impressionnante, monumentale, sans voitures. Mais ce qui m’a surtout frappé c’est la grande hétérogénéité des monuments qui l’entourent, comme autant de pages d’histoire de la Russie.

Embarquement dans un océan de couleurs. La collection Batliner au musée de l’Albertina de Vienne est vraiment une explosion de couleurs et de lumières. Son unité d’inspiration fait passer en douceur de l’impressionnisme de Monet à la fin du XIXème siècle aux étrangetés de Picasso et même aux torsions de Bacon après la seconde guerre mondiale. Comme par un miroir aux alouettes, j’ai été happée par ces reflets et j’ai eu du mal à quitter le musée au moment de sa fermeture. Aucune des œuvres ne m’a laissée indifférente.
Au bord de la Mer Noire. J’avais fait un break d’une semaine sur une plage de la Mer Noire en Bulgarie. Je ne voulais plus penser à rien, oublier mon quotidien pour échapper au burn out, ne rien faire, me reposer…. De ce point de vue mon séjour, loin de Paris et des français, fut top. Mais la fièvre irrépressible de la découverte et ma curiosité intrinsèque m’ont poussé à faire un petit tour pas très loin de là. On m’avait parlé d’une ville proche classée au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1983.

Voyageuse insaisissable. C’est la fulgurance de son style qui m’a happé. L’écriture de cette écrivaine est baroque flamboyante, chargée de mots angelots ou diablotins. Parfois boursouflée comme un gâteau trop levé. Elle choisit ses formules, comme un chef ses ingrédients. J’ai eu le même plaisir à lire ce livre culte qu’à avaler une montagne de profiteroles ou un saint-honoré débordant de chantilly. Ses phrases étirées en cascades sont colorées, affriolantes, théâtrales, comme une guirlande autour d’un sapin de Noël.

Voyage au bout de la plume. En convertissant les grands classiques de la littérature en bandes dessinées Le Monde et les éditions Glénat font passer les voyages de l’imagination à l’image. La grande littérature prend formes et couleurs.