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Voyage au bout de la plume. En convertissant les grands classiques de la littérature en bandes dessinées Le Monde et les éditions Glénat font passer les voyages de l’imagination à l’image. La grande littérature prend formes et couleurs.
Autour de la montagne géante. Cette montagne est la marque de la Sicile. C'est la raison pour laquelle j'ai décidé de commencer mon reportage photos par ce personnage central de l'île. En tout cas, dans l’est de la Sicile où je me suis baladée pendant plusieurs jours, sa silhouette massive domine presque toujours le décor. Du moins quand les nuages le dévoilent, ce qui est souvent le cas.

Impressions de voyages. Pour une fois hier soir les "carnets de voyage" d’ "envoyé spécial" (1) portaient vraiment bien leur nom. En effet, un des trois reportages de cette émission estivale -présentée cette fois devant les cabines de plage multicolores de l’île d’Oléron- était consacré … aux "carnets de voyage". Un genre artistique ancien qui revient au goût du jour, en particulier avec des bloggeurs artistes, auteurs de croquis ou de collages.

« Il voyag' en solitaire Et nul ne l'oblilg' à se taire, Il chante la terre » : ces paroles toutes simples écrites par Gérard Manset en 1973 ont été un immense succès populaire dès 1975 (300 000 exemplaires rapidement vendus en 45 tours), comme une espèce d’hymne un peu imprécis à la route ou à l’ailleurs, une mélodie de routard libre. Certains globe-trotteurs du XXIème siècle s’y reconnaissent toujours. Il y a un peu du « i'm a poor lonesome cowboy » de Lucky Luke.

Le voyage qui transforme. Pour sa 17ème émission en terre inconnue, Frédéric Lopez a emmené dans ses bagages un très urbain et riche homme d’affaires, producteur et animateur de télévision, Arthur, alias Jacques Essebag. Quel décalage pour cette hyper vedette du petit écran débarquant dans un coin perdu de la montagne andine, suivi de seulement deux caméras !

La perle des émirats. Je rêvais d’un peu de chaleur. En allant décembre dernier à Abu Dhabi, j’ai été servie au-delà de mes espérances : plus de 40 ° à l’ombre ! Les marbres blancs de la grande mosquée, qui semblent rafraichissants sur les photos que j’ai rapportées, étaient en réalité brûlants. La chaleur était suffocante.

Bien sûr, il n’est pas aussi verdoyant que le « old course » de Saint Andrews en Ecosse ou que le parcours de Ballybunion en Irlande, mais la perfection de ses greens m’a impressionné. J’étais en vacances dans la station balnéaire de Saly au sud de Dakar quand on m’a parlé de ce 18 trous sous des baobabs. Un peu dingue dans un pays sahélien, ai-je pensé ! Mais c’est moins choquant que les golfs construits en plein désert dans les pays du Golfe, en Californie ou en Egypte !