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Voyage au pays de la chance. Claudia Tagbobo, fille de Bobo 1er, boboïse grave. Bobo (1) elle-même, elle se moque des bobos que forcément elle connaît bien. Elle roule dans la farine ces nombrilistes intrinsèques. Logique, dit-elle, elle préfère l’humour blanc des noirs à l’humour noir des blancs. Les bobos de cette queen des bobos ne font donc pas de mal. Ils font même du bien parce que j’ai ri toute la soirée.

Mon coup de foudre. "J'aimerais voir Syracuse..." J'ai souvent fredonné cette chanson d’Henri Salvador et rêvé de cette ville mystérieuse que je ne savais même pas situer sur une carte. Or je l’ai trouvée en Sicile. Elle a été un des grands coups de cœur de mon voyage. Je n’y suis restée que quelques heures mais j’aurais pu y rester une journée entière, voire plusieurs jours… Je me suis contentée de la petite île d’Ortygie (Ortigia), où s’est condensée l’histoire de cette ville.
Falaises, sunset et kecak. Tout est grandiose à cet endroit, le spectacle de la nature et le spectacle des danseurs. J’y suis arrivé au couchant, le meilleur moment pour apprécier l’un et l’autre : le soleil rougissant sur les falaises vertigineuses et la lumière rosissante tombant sur un spectacle de théâtre-danse de kecak (les indonésiens prononcent ketchak). Ce fut le moment le plus inoubliable de mon voyage à Bali.

Sous les balcons. J’ai été magnétisé par les fenêtres et balcons en fer forgé de cette ville ultra baroque : des balcons d’apparat aux garde-corps métalliques galbés et ventrus comme devaient l’être les aristocrates et bourgeois qui avaient commandé ces palais.

Epoustouflante ! J’ai eu la chance de découvrir cette petite ville un peu par hasard, au sortir de Syracuse, à la pointe sud de la Sicile. C’était une fin d’après-midi en demi saison, je circulais librement en voiture, le ciel était bleu, la température douce et j’ai été suffoqué par la beauté de la pierre calcaire jaune dorée, un peu rosée qui pare ce gros bourg tout entier, en se détachant du bleu du ciel.
Voyage dans l’antiquité. Le théâtre grec de Taormine est perché sur la partie la plus haute de la ville, offrant un panorama grandiose sur la baie et les montagnes. En entrant dans cet immense amphithéâtre (plus de 100 m de diamètre) silencieux, j’ai senti des frissons. Les roches y ont été creusées puis les pierres empilées il y a 2300 ou 2400 ans.

J’ai fait de nombreuses randonnées pédestres fantastiques à travers le monde.