Il est encore temps de sauver Zanzibar
Les deux faces du voyage à Zanzibar. D’un côté, il y a un microcosme de touristes, un peu plus de 100 000 par an. Ces "happy few" installés dans des hôtels haut de gamme ont acheté du rêve attaché à ces trois syllabes, zan-zi-bar. Elles sont tirées de l’arabo-persan et signifient "la côte des noirs". Comme l’a montré un intéressant reportage de France 2, "carnet de voyage" d’Envoyé spécial, ce rêve est magique pour l’imaginaire d’occidentaux.