Etape portuaire. C'est le nom de ce petit bateau de pêche dans le port de Nessebar en Bulgarie qui a atiré mon attention. Je me suis fait confirmer par un guide local qui comprenait des langues latines (car le bulgare est une langue slave) : c'est bien « Fanfan » qui est écrit sur la proue.
Aventures dans le Pacifique sud. Michel Tournier, dans sa préface, qualifie Jack London de « nomade frénétique ». C’est vrai qu’il avait été, sous toutes sortes de latitudes, blanchisseur, chercheur d’or, chasseur de phoques, agriculteur, boxeur, meneur de chiens de traîneau, photographe, reporter et… marin. J’avais lu de lui quelques livres racontant des aventures dans les terres glacées (Croc Blanc, L’appel de la forêt, Le Klondike,…).
Voyage d’un marin écologiste. En lisant ce récit, j’ai eu l’impression de découvrir le journal de bord d’un commandant Cousteau de la littérature. Ecologiste avant le développement de l’écologie, l’écrivain américain John Steinbeck qui fut prix Nobel de littérature en 1962 est connu universellement pour quelques ouvrages phares : "Les raisins de la colère", "Des souris et des hommes" ou encore "A l’est d’Eden"… Ce livre-ci, "Dans la mer de Cortez ", est beaucoup moins connu.
Chez les cannibales du Pacifique Sud. Oui il s’agit bien de Robert-Louis Stevenson, l’auteur de "L’île au trésor" et de "L’étrange cas du docteur Jekyll et de M. Hyde", un grand écrivain écossais de la deuxième moitié du XIXème siècle. Il fut aussi un grand voyageur, spécialement connu en France pour le récit qu’il a rapporté de son "Voyage avec un âne dans les Cévennes".
Eclats d’un passé illustre. C’est pour visiter le delta du Danube que j’ai débarqué à l’aéroport de Constantza (Constanta en roumain). A côté de cette ville j’ai découvert un grand port roumain sur la Mer Noire. Mais rien à voir avec les ports de Rotterdam ou de Singapour encombrés de montagnes de conteneurs. C’est un port d’une génération un peu vieillie.
Thalassa à quai. Pendant des années, j’ai été un fan de Thalassa. J’y ai vu de nombreux reportages fascinants qui m’ont fait rêver de voyages et qui ont cultivé ma passion de la découverte et de l’aventure. Evidemment hier soir j’étais au rendez-vous pour l’émission de ses 40 ans qui se passait à Marseille, son lieu de naissance. Le patriarche Georges Pernoud n’a pas sabré le champagne ni fait la fête mais annoncé, sur le même ton uniforme, le programme de l’année.