« Autrement dit, de même qu’on ne peut lui faire porter le fardeau d’autrui, [l’être] ne peut avoir d’autre rétribution que celle qui correspond aux efforts qu’il aura produit pour lui-même. Sadaqa, la richesse du coeur Quand on parle du "monde de la tombe", c'est uniquement parce qu'en général les défunts sont enterrés dans des tombes (Ar-Rûh, p. 70). Ibn Al-Qayyim a d’ailleurs expliqué ce point dans son ouvrage Iclâm Al-Muwaqqicîn (3/554), après citation et authentification du hadith en question : « Une partie des savants a donc interprété ce hadith dans son sens général et absolue en soutenant la possibilité de rattraper [pour le défunt] le jeûne correspondant à un vœu de même que le jeûne obligatoire. Ce terme est aussi présent dans les hadiths, où il conserve le double sens. Craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être et a créé de celui-ci son épouse pour faire se répandre, à partir de ces deux-là, beaucoup d’hommes et de femmes. Il en est de même concernant le fait d’accomplir une prière au nom d’autrui, ou toute autre obligation qu’Allah le Très Haut a instituée et que le défunt a négligée jusqu’à sa mort. C’est la raison pour laquelle je vous propose ces Prière pour un défunt – Prière pour un mort à dire tous les jours, tant que votre coeur saigne. » Il dit alors : « Sois donc témoin que je donne mon jardin d’arbres fruitiers en aumône pour elle ». - Cinquièmement : les résultats bénéfiques [des œuvres] et les aumônes dont la récompense continue [après la mort du donateur] (Sadaqah Jâriyah) qu’il laisse derrière lui, conformé­ment à la parole d’Allah : «...et Nous écrivons ce qu’ils ont fait [pour l’au-delà] et les résultats de leurs œuvres ... » [Yâ-Sîn : 12] Plusieurs hadiths ont également été mentionnés à ce sujet : a) celui d’Abû Hurayrah selon qui le Messager d’Allah (salallahu ‘alayhi wasalam) a dit : « Lorsque l’être humain décède, son œuvre s’interrompt [1] à l’exception de trois [choses] : une aumône continue (ou perpétuelle), une science dont les gens tirent profit, ou un enfant vertueux [2] qui invoque Allah en sa faveur. Lorsque quelqu’un accomplit un acte d’obéis­sance puis entreprend d’en offrir la récompense à une personne, vivante ou morte, la dite récompense ne parvient pas à la personne visée, car : . En effet, pourquoi ne pas cesser d’agir pour soi-même et plutôt compter sur les œuvres d’autrui lorsque l’on sait que les gens offrent, chaque jour, des centaines de fois [la récompense de leurs] bonnes actions aux membres, vivants ou morts, de la communauté des croyants ? « Une partie des savants a donc interprété ce hadith dans son sens général et absolue en soutenant la possibilité de rattraper [pour le défunt] le jeûne correspondant à un vœu de même que le jeûne obligatoire. une femme prit le bateau et fit à Allah le vœu de jeûner un mois si celui-ci la ramenait indemne sur la terre ferme. Ceci spécifierait la portée générale du verset dans lequel Allah dit : C’est selon moi la vérité sur la question et tel est l’avis qu’impliquent les fondements et les principes des sciences religieuses. : « Mon père est décédé. Shaykh Al-Islâm Ibn Taymiyyah a d’ailleurs dit dans Al-Ikhtiyârât Al-cIlmiyyah (p.54) : « Les Prédécesseurs n’avaient pas pour habitude, lorsqu’ils accom­plissaient de façon surérogatoire une prière, un jeûne ou un pèlerinage, ou bien lorsqu’ils récitaient le Coran, d’offrir la récompense de tels actes aux morts de la communauté musul­mane. En effet, le jeûne obligatoire revêt le même statut que la prière. Des levées fiscales (sadaqat) sont instituées en l'an 9 de l'hégire (630) en un impôt obligatoire régulier et collectif dont le but religieux selon le Coran, est de « purifier » les musulmans[2]. Et les gens de se succéder alors [avec leurs aumônes]. L’invocation du croyant en faveur de son frère, en son absence, est exaucée. S’il entreprend donc d’accomplir un acte d’obéissance dans l’intention de le voir comptabilisé pour un mort, l’acte en question ne sera pas comptabilisé pour ce dernier, à l’exception des œuvres que la législation a exemptées comme l’aumône, le jeûne et le pèlerinage. Sadaka pour un deces Congés décès : conditions, démarches et durée du congé (2019 . Certes, Allah vous observe parfaitement. Cette thèse a été adoptée par Ibn Al-Qayyim dans son livre Ar-Rûh sur la base d’un raisonnement semblable à l’analogie dont nous venons de démontrer le caractère infondé. Lancé à l’occasion du mois sacré du Ramadan, Tickets Sadaka est une initiative lancée par Medhi essakhali jeune rbati créateur du projet. Il a laissé des biens mais n’a pas écrit de testament. On dira: pas de bienvenue pour une mauvaise âme qui animait un mauvais corps. Nombre d’innovateurs ont en outre exploité ce propos afin de combattre la Sunnah. La seconde : j’ai sondé de nombreuses questions prétendument consensuelles et j’ai constaté non seulement l’existence d’une divergence connue, mais surtout l’opposition de l’avis de la majorité des savants au dit consensus. De même, il faut rappeler ici que le culte revient à Dieu seul et qu'il est donc impossible d'invoquer les âmes des défunts pour … répondit : « Oui. ». Ce processus implique une codification très stricte, fondée sur la lecture et l'interprétation de plusieurs passages du Coran. Et ceci constitue l’une des nombreuses causes de la supériorité des Prédécesseurs et de notre retard, tout comme cela explique la victoire qu’Allah leur accorda et l’humiliation dont Il nous frappe. 5.- Què creuen que hi ha després de la mort? Ceux-ci l'encourage et en cite les mérites. [Abû Bakr se leva ensuite et donna. Ceci leur vaut de recevoir la même récompense que lui, contrairement à toute autre personne. Ce site s'adresse à des gens de confessions diverses qui cherchent à comprendre l'islam et les musulmans. a) cÂ’ishah rapporte « qu’un homme demanda [au Prophète] : « Ma mère est décédée subitement [sans laisser de testament]. Asia Bibi, 37 ans, est chrétienne et mère de plusieurs enfants. D'autre part, selon le rite, la position du défunt doit être en direction de la Mecque, en orientant la tombe perpendiculairement à la direction de la Kaaba. Format: Book 10.- Com es diu la persona que dirigeix el culte de l'oració? 136 likes. Le grand savant As-Sayyid Muhammad Rashîd Ridhâ a d’ailleurs résumé puis scientifiquement et solidement démenti son propos dans Tafsîr Al-Manâr (8/254-270). ». L’une de ses proches [sa soeur ou sa fille] se présenta alors au Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) et lui évoqua ce cas. 3- Si cette analogie était correcte, elle impliquerait qu’il serait conseillé et recommandé d’offrir la récompense [des actes d’obéis­sances] aux morts. En réalité, celui qui se suicide vit souvent dans une situation désespérée. Celui-ci lui dit alors : [« T’acquitterais-tu de sa dette si elle était endettée ? Cette règle s’étend au cas du pèlerinage (Hajj) et de l’aumône légale (Zakât). Il n’en est moins rapporté de façon sûre que le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) pleura à plusieurs reprises à cause d’un mort. A la fin de l’enterrement;, si l'imam ou un homme de science, ou une personne compétente est présente, elle peut prendre la parole pour faire un rappel sur la mort et faire des invocations pour le défunt; La tombe d'un musulman doit être la plus simple possible, on doit la distinguer par sa petite hauteur et son aspect austère. Enfin, un troisième avis a distingué le jeûne faisant suite à un vœu – qu’il est possible de rattraper à la place du mort – du jeûne obligatoire. » Elle dit : « Oui. 2. • Consoler la famille du défunt • L’enterrement doit se faire très rapidement Ils se sont appuyés sur le Cheikh (Ibn Taymiyyah) et son élève (Ibn Al-Qayyim) contre les partisans et les adeptes de la Sunnah, ignorant, ou feignant d’ignorer, que ces derniers – contrairement à eux – ne suivent personne aveuglément dans ce qui a trait à la religion d’Allah. Et à toi de même ». » Voir Mabâriq Al-Azhâr fî Sharh Mashâriq Al-Anwâr d’Ibn Al-Malak. 1. Sadaka/zaka pour détenus musulmans. Read "Mamie, parle-moi de la mort" by liliane sadaka available from Rakuten Kobo. Eux aussi se justifient en disant que d’autres s’en acquitteront après leur mort. [Abû Bakr se leva ensuite et donna. Cette distinction qu’ont établie la mère des croyants et Ibn. Un ange qui lui est assigné se tient auprès de lui et dit, chaque fois qu’il invoque [Allah] pour le bien de son frère : « Âmîn. Je doute toutefois fortement du bien fondé d’un tel consensus pour les deux raisons suivantes : La première : le consensus – comme défini dans la science des fondements du droit islamique – est impossible à réaliser en pratique sur les questions autres que celles qui sont nécessairement connues (Maclûm min ad-Dîn bid-Dharûrah). Le repentir d’une personne au nom d’une autre n’est d’aucun secours à cette dernière, tout comme une conversion à l’islam au nom d’autrui est nulle. « ... et Nous écrivons ce qu’ils ont fait [pour l’au-delà] ainsi que les résultats de leurs œuvres ... », : Nous avons publié cette partie de l’ouvrage car il est trop méconnu auprès du lectorat francophone, nous encourageons nos frères et sœurs à l’acquérir et à profiter de ce trésor. Encyclopédie des paroles prohétiques traduites. 4 août 2020 - Découvrez le tableau "La mort islam" de Demohamed sur Pinterest. Tout ce qui précède est vrai pour la mère également. Le shaykh y a excellé et a montré sa grande connaissance du hadith et du. Cette situation est identique à celle d’une personne qui aurait planté un arbre, et qui en récolterait la récompense toutes les fois qu’une personne mangerait de ses fruits, qu’elle invoque Allah pour elle ou non. Cette réalité a d’ailleurs été établie par des sommités comme – entre autres – Ibn Hazm dans Usûl Al-Ahkâm, Ash-Shawkâni dans Irshâd Al-Fuhûl ou le professeur cAbdul-Wahhâb Khallâf dans son ouvrage intitulé Usûl Al-Fiqh. Quant au péché commis par l’enfant,  il n’atteint pas le père si l’intention de ce dernier était d’obtenir le bien [par le biais de son éducation]. Format: Book Description; Notes; Il accomplit donc la prière [du Zhuhr, monta sur une petite chaire] et tînt un discours dans lequel [il loua Allah et fit Son éloge] pour dire ensuite : [« Cela étant dit... Allah a révélé les paroles suivantes dans Son Livre…] : « Ô vous les gens! livre de Halevi, il ne contient qu’un chapitre sur les lamentations pour les morts (2007: 114-142). Or, cela contraste complètement avec son attitude habituelle au niveau des questions purement cultuelles pour lesquelles il a toujours évité – surtout quand cela contredisait l’avis des pieux Prédécesseurs – de s’accorder trop de liberté dans le recours au raisonnement analogique. On ne trouve dans la littérature islamique aucun ouvrage de cette qualité sur ce thème. Ne seront pas égaux les gens du Feu et les gens du Paradis. En effet, non seulement il met en application tous les hadiths [s’y rapportant], sans en rejeter aucun et les interprètent tous correctement. A savoir que le verset doit être compris selon sa portée générale et que la récompense de l’aumône – ou de toute autre œuvre pieuse – parvient aux parents de la personne qui l’accomplit puisque cette dernière fait partie de ce que ses géniteurs ont produit comme efforts, ce qui n’est pas le cas pour une personne autre que l’enfant. De même que l'invocation sincère de Dieu et l'imploration de Son pardon avec humilité lors de la prière mortuaire sont des pratiques qui surpassent l'aumône offerte à l'intention du mort. 24 janvier 2020. Acquitte-t’en [donc] [pour ta mère] ». Full title: L'Islam face à la mort de Dieu : actualité de Mohammed Iqbal / Abdennour Bidar. ». C'est un véritable devoir moral dont les fidèles musulmans doivent s'acquitter, pour leur propre gratification morale autant que par respect pour le mort. Son autre fils, cAmr, voulut affranchir les cinquante restants mais se dit : « Pas avant d’avoir interrogé le Messager d’Allah. MAMIE, PARLE-MOI DE LA MORT (French Edition) [SADAKA, LILIANE, KHOURY, RAYANE] on Amazon.com. Al-Khattâbi dit ainsi dans l’ouvrage Al-Macâlim : « Ce hadith indique que la procuration (An-Niyâbah) ne s’applique pas au niveau du jeûne, de la prière et de tous les actes du corps allant dans ce sens. Le cadavre doit faire l’objet d’une purification, pour faciliter cette mutation. Celui d’entre nous que Tu maintiens en vie, fais-le vivre sur la voie de l’Islam et celui d’entre nous dont Tu as repris l’âme, fais-le mourir dans la foi. Cela n’a pas non plus été rapporté de la part d’un seul de ses Compagnons qui nous y aurait certainement devancés s’il y avait là quelque bien. Nous en avons déjà mentionnés certains et nous en évoquerons d’autres, dans le chapitre qui sera consacré à la visite des tombes. Mnapokuwa na hofu ya kupata hatari katika mali, basi mtoe sadaka na kama hampati yule aliyemustahiki, basi mfanye nia sehemu hiyo muitenge na mali yenu. Après la mort, les proches récitent une nouvelle prière, ferment ses yeux et le recouvrent. Fais des sadaka en son nom pour une mosquée,pour la construction d'une école ou d'un hopithal car la meilleure des sadaka pour une personne est celle qui rapporte des hassanate de façon continue. Si la personne meurt, ses œuvres sont interrompues, à part dans trois choses :-une aumône continue,-une science dont les gens tirent profit-ou un enfant pieux qui invoque pour lui. Cela est justifié par la parole d’Allah : « Et ceux qui sont venus après eux disent : « Ô Seigneur ! Inscrivez-vous à notre liste de diffusion! Tirerait-elle profit d’une aumône que je ferais pour elle ? » Le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) répondit : « Oui. Bonjour à tous, La nuit du samedi à dimanche dernier, j'ai rêvé de mon grand-père mort. Congés décès : à la mort d'un proche, le salarié dispose d'un certain nombre de jours de congés. b) celui d’Abû Qatâdah selon qui le Messager d’Allah (salallahu ‘alayhi wasalam) a dit : « Ce que l’être humain peut laisser de mieux après sa mort réside dans trois choses : un enfant vertueux qui invoque [Allah] en sa faveur, une aumône continue dont la récompense lui parvient, et une science que l’on applique après lui. Ainsi s’oppose-t-elle à cette parole d’Allah : « …Et quiconque se purifie ne se purifie que pour lui-même... » [Fâtir : 18], et à d’autres versets qui lient le succès et l’entrée au paradis aux œuvres pieuses. » Il se présenta donc à ce dernier et lui dit : « Ô Messager d’Allah ! RECURSOS » Il dit alors : « Sois donc témoin que je donne mon jardin d’arbres fruitiers en aumône pour elle ». Or, cette analogie (Qiyâs) est nulle et non avenue pour les raisons suivantes : 1- Cette analogie contredit tout d’abord les principes généraux du Coran. S'il est décédé avant ce temps- ce qui est apparemment le cas ici- la zakat ne le concerne pas. Le prétendu retour de l’âme au bout de quarante jours relève de la légende. » [Muslim] D’ailleurs, la prière mortuaire témoigne en grande partie de cela, puisque, comme nous l’avons vu plus haut, elle ne consiste pratiquement qu’en une invocation et une imploration du pardon d’Allah en faveur du défunt. » [Abû Dâwud]. » [Muslim], d) cAbdullah Ibn cAmr rapporte « qu’Al-cÂss Ibn Wâ’il As-Sahmî demanda dans son testament que l’on affranchisse en son nom cent esclaves. [Ignorant également] qu’ils ne font pas primer le propos d’un savant – aussi bonne soit l’opinion qu’ils ont de sa science et de sa piété – sur la vérité quand elle apparaît clairement. Chère sœur, La commémoration du 40ième jour de la mort d'une personne est une innovation religieuse parce qu'un tel acte n'était pas pratiqué ni par le Prophète, Salla Allahou Alaihi wa Sallam, ni par les Compagnons. » [Ibn Mâjah], d) celui de Jarîr Ibn cAbdullah qui a dit : « Nous étions auprès du Messager d’Allah (salallahu ‘alayhi wasalam) au beau milieu de la journée quand des gens venant presque tous – et même tous – de Mudhar se présentèrent, pieds nus, vêtus de tuniques rayées qui les couvraient à peine. Pardonne à nos vivants et à nos morts, aux présents et aux absents, aux jeunes et aux vieux, aux hommes et aux femmes. Supplique pour le défunt et l'humanité. 2- Il existe une différence notoire entre les deux éléments de l’analogie. Il faut, dans l'ordre : 1. laver le défunt avec de l'eau ; 2. envelopper entièrement le corps dans un linceul propre ; 3. faire la priè… selon le coran qu'est ce qu'on peut faire comme bonnes actions au profit d'une personne qui n'est plus là je précise que cette personne était un bon musulman qui a été à la mecque 2 fios répondit alors : « S’il était musulman, tout affranchis­sement, aumône ou pèlerinage que vous accomplirez pour lui, lui parviendra certainement. Ne rien faire est terrible. » [Puis il récita : « ... et Nous écrivons ce qu’ils ont fait [pour l’au-delà] ainsi que les résultats de leurs œuvres ... » [Il dit : « Puis il partagea les dons entre eux. Une enseignante, menacée de mort pour avoir critiqué l’islam, porte plainte contre Mediapart, qui avait livré son nom et avait qualifié ses propos d’« islamophobes» (aucoeurdunationalisme.blogspot.com) submitted just now by patriceplard. Des droits sont compris dans tous les sujets impliquant des enfants., Enseigner aux enfants les devoirs en islam., Les hadiths du prophète Mohammed apportent des bienfaits aux enfants et à la communauté., Se préparer à la naissance d’un enfant., Avant même leur naissance, les droits des enfants sont respectés. PAGE FACEBOOK : https://www.facebook.com/Rachid.Eljay.officiel/SITE : http://www.rachideljay.com [Et ne soyez pas comme ceux qui ont oublié Allah qui leur a alors fait oublier leurs propres personnes; ceux-là sont les pervers. passionnee. Comment composer avec la détresse et les pensées suicidaires et pourquoi on ne devrait jamais désespérer de la miséricorde de Dieu. En effet, c’est à lui – et non pas à son tuteur – que s’adressaient ses obligations, Allah désirant l’éprouver et le tester par ce biais. Et il est clairement établi que l’enfant fait partie, pour son géniteur, du fruit de ses efforts. L'islam face à la mort de Dieu : Actualité de Mohammed Iqbal on Amazon.com.au. Et quiconque instaure en islam une mauvaise tradition en portera le fardeau et portera le fardeau de tous ceux qui la pratiqueront après lui, sans que cela n’allège en rien leur péché. Faites aumône avant que quelque obstacle ne vous en empêche.] Allah la sauva donc, mais elle ne jeûna pas jusqu’à sa mort. Le terme et ses dérivés apparaissent 24 fois dans le Coran et son usage suggère l'existence d'un usage préislamique. Nous L’implorons donc de nous guider comme Il les a guidés et de nous accorder la victoire ainsi qu’Il l’a fait pour eux. 9.- Quina religió és més antiga el Cristianisme o l'Islam? La personne décédée doit être accompagnée dans la mort, qui n’est qu’un passage. Plus néfaste encore, cette thèse selon laquelle il est impératif de décharger le mort des prières qu’il avait délaissées et qui fait partie des plus importants facteurs expliquant l’abandon de cette obligation par certains musulmans. Un tel avis a d’ailleurs été soutenu par les savants shâficites. » …, Faites aumône avant que quelque obstacle ne vous en empêche.] Le défunt peut bénéficier des œuvres d’autrui à plusieurs niveaux : - Premièrement : l’invocation d’un croyant en sa faveur, dès lors que celle-ci remplit les conditions nécessaires à son acceptation. sadaqât) est un don spontané à la différence de la zakât (parfois aussi appelée sadaka) qui est une aumône obligatoire appartenant aux 5 piliers de l'islam. Ne seront pas égaux les gens du Feu et les gens du Paradis. Il dit alors : « Ô Messager d’Allah ! Dans ces deux hadiths, on explique l'état de l'âme après la mort et avant l'enterrement. bonnes actions a faire pour une personne décédée. Ash-Shâfi, acquis. » Il répondit : « Oui. Un tel avis les incite à négliger l’acquittement du pèlerinage puisqu’ils s’en servent afin de justifier leur attitude et qu’ils disent au fond d’eux : « Ils l’accompliront à ma place après ma mort » ! Ô Seigneur ! En Islam la cérémonie funéraire est très codifiée et doit suivre un ordre bien défini. Il entra alors puis ressortit et ordonna à Bilâl d’appeler à la prière. » [Abû Dâwud], c) Ibn cAbbâs rapporte également que « Sacd Ibn cUbâdah consulta le Messager d’Allah au sujet de sa mère qui était décédée et qui était redevable d’un jeûne qu’elle avait fait vœu d’accomplir. C’est pourquoi le Messager d’Allah ( incité les membres de sa communauté, que ce soit par un texte ou encore par une simple allusion, vers une telle pratique. C’est pourquoi le Messager d’Allah ( incité les membres de sa communauté, que ce soit par un texte ou encore par une simple allusion, vers une telle pratique. Le mort quitte ce monde pour un autre ; son âme ne retourne pas auprès de sa famille et celle-ci ne peut pas ressentir sa présence. MAMIE, PARLE-MOI DE LA MORT … Ma mère est morte en mon absence. 18 Le martyr tire sa substance de la religion (Islam), mais il est au-delà de la religion. selon les recommandations des projets correspondants. ;De nouveaux articles sont ajoutés chaque … Je l'ai embrassé sur la bouche, puis j'ai retiré sa chaussette et ai embrassé sa plante de pied. Nous vous renvoyons à la brochure n° 2 " Les actes & rapports sociaux dans l'islam "pour le détail du lavage du mort ainsi que la prière mortuaire et les invocations avant, au moment et après l’enterrement. Une page pour aider les pauvres :sadaka = aumône, ton paye. [2] « Cette restriction à l’enfant vertueux est due au fait que c’est de lui seul que peut survenir la récompense. Le repentir d’une personne au nom d’une autre n’est d’aucun secours à cette dernière, tout comme une conversion à l’islam au nom d’autrui est nulle. Son fils Hishâm en affranchit alors cinquante. Une page pour aider les pauvres :sadaka = aumône, ton paye. Voir plus d'idées sur le thème la mort islam, islam, rappel islam. - Quatrièmement : les œuvres pieuses accomplies par un enfant vertueux ; les parents en reçoivent la même récompense que lui, sans que la sienne n’en soit pour autant amoindrie. Cet élargissement à des cas pour lesquels ils n'autorisent pourtant pas le B.d (l'accomplissement en place de la personne), les hanafites le fondent sur le fait que le Prophète a offert la récompense du sacrifice d'un animal à toute sa Umma, alors que le sacrifice d'un animal n'est pas un acte cultuel de pure dépense (Shar'h ul-'aqîda at-tahâwiyya, p. 671). « Ils l’accompliront à ma place après ma mort » ! Bibliographical reference. L’ un d’eux, après avoir composé des vers consacrés au vague à l’âme évoqua la mort en ces termes : « Chaque humain quoique dure sa sécurité finira porté sur une civière ». Ceci spécifierait la portée générale du verset dans lequel Allah dit : « Et qu’en vérité l’homme n’obtient que le fruit de ses efforts. » [Abû Dâwud], Ash-Shawkâni a dit dans Nayl Al-Awtâr : « Les hadiths de ce chapitre indiquent [à la fois] que l’aumône accomplie par une personne est attribuée à ses parents après leur décès même s’ils ne l’ont pas stipulée par un testament, et que la récompense leur parvient. » [Muslim], [1] : Autrement dit : le bénéfice de son œuvre et le renouvellement de la rétribution qui lui est attachée. Cette position est celle d’Ibn cAbbâs et de ses disciples, et c’est en elle que réside la vérité sur la question. Cela n’a pas non plus été rapporté de la part d’un seul de ses Compagnons qui nous y aurait certainement devancés s’il y avait là quelque bien. » [Ibn Mâjah], c) celui d’Abû Hurayrah selon qui le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) a dit : « Parmi les oeuvres et les bonnes actions accomplies par le croyant et dont la récompense lui parvient après sa mort, on trouve : une science qu’il a enseignée et diffusée, un enfant pieux, un exemplaire du Coran qu’il a légué, une mosquée qu’il a édifiée, une maison qu’il a construite à l’intention des voyageurs indigents, une source d’eau potable qu’il a léguée ou une aumône qu’il a faite de ses biens de son vivant alors qu’il jouissait de sa santé ; tout cela lui parvient donc après sa mort. Et certes l’enfant fait partie de ce qu’il a acquis.» [Abû Dâwud] Cela est également appuyé par certains hadiths spécifiques que nous mentionnerons ici et qui ont été cités au sujet du bénéfice que les parents tirent des œuvres de leur enfant comme les aumônes, le jeûne, l’affranchissement d’esclaves ou autres actes de ce type. Et à toi de même ». » [An-Najm : 39]. Plus encore – et plutôt que d’espérer en ces bonnes actions imagi­naires – elle considérera, théoriquement, qu’il lui est impératif d’œuvrer autant que faire se peut afin de laisser un résultat positif dont elle recevra la récompense lorsqu’elle se retrouvera seule dans sa tombe. Ce matin hivernal, Théo vient rendre visite à sa grand-mère. » [Al-Bukhârî et Muslim], Ces hadiths indiquent donc clairement la légitimité de l’acquittement, par le tuteur d’un défunt, d’un jeûne que ce dernier avait fait vœu d’accomplir (Sawm An-Nadhr). C’est pour cela qu’il se peut que certains médecins affirment à un homme, dont la maladie atteint son paroxysme, que sa mort est proche et que son heure est arrivée, mais Allah, Glorieux et Majestueux, a décrété la vie pour le malade, et la mort pour le docteur. - Troisièmement : l’acquittement de ses dettes par son tuteur ou toute autre personne. Un ange qui lui est assigné se tient auprès de lui et dit, chaque fois qu’il invoque [Allah] pour le bien de son frère : « Âmîn. En revanche, pour ce qui est du défunt négligent et inexcusable de son vivant, l’acquittement par autrui des obligations d’Allah qu’il a négligées ne lui est d’aucune utilité. Huwezi kurudisha sadaka na baada ya kumtoa mtumwa kama sadaka huwezi kumchukua tena katika miliki yako. Le Coran rappelle l’inéluctabilité de la mort non pas par l’image extérieure des funérailles, mais par la sensation intérieure et la mention des thèmes eschatologiques de l’Islam : Ash-Shâfici et ses disciples ont d’ailleurs déduit de ce noble verset que le don de la récompense liée à la récitation du Coran, que certains peuvent adresser aux morts, ne parvient pas à ces derniers car ceci ne fait pas partie de leurs œuvres, ni  de ce qu’ils ont ) n’a ni recommandé, ni orienté, nieacquis. En tant que médecin généraliste français converti à l’islam depuis dix-neuf ans, je ne me sens pas particulièrement qualifié pour parler d’un sujet aussi grave qui met en scène les bases mêmes des sciences de la foi musulmane : la ’Akida’. Main author: Bidar, Abdennour. • Une fois la mort attestée, il faut fermer la bouche du défunt. 8.- Quins són els cinc pilars de l'Islam? Ils sont morts pour Dieu au nom de la patrie et pour la patrie au nom de Dieu. C’est pourquoi je me contenterai de rappeler un seul exemple, à savoir le consensus rapporté par An-Nawawî selon lequel l’accomplissement de la prière mortuaire n’est pas jugée détestable (Makrûh) dans les temps où la prière l’est. S’il entreprend donc d’accomplir un acte d’obéissance dans l’intention de le voir comptabilisé pour un mort, l’acte en question ne sera pas comptabilisé pour ce dernier, à l’exception des œuvres que la législation a exemptées comme l’aumône, le jeûne et le pèlerinage. sadaqât) est un don spontané à la différence de la zakât (parfois aussi appelée sadaka) qui est une aumône obligatoire appartenant aux 5 piliers de l'islam. Il a laissé des biens mais n’a pas écrit de testament. Il est dès lors permis à son tuteur de s’en acquitter pour lui comme il le ferait avec ses dettes. Cela est particulièrement vrai pour le premier d’entre eux : cÂ’ishah, qui en est le rapporteur, ne l’a pas interprété en le généralisant au jeûne du mois de Ramadan. Nous savons en outre que les actes par lesquels l’être peut se rapprocher de son Seigneur est un domaine où il convient de s’arrêter au niveau des textes et où toute attitude ayant recours aux divers types d’analogie ou de raisonnements personnels est à proscrire. Si par contre, elle est redevable d’un jeûne qu’elle avait fait vœu d’accomplir, il incombe à son tuteur de s’en acquitter pour elle. Que celui qui le peut donne de son dînâr, de son dirham, de ses vêtements, de sa poignée de froment, [de son orge] et de sa poignée de dattes. Prenez par exemple le cas de certains cheikhs [soufis] qui vivent du fruit du travail de leurs élèves et qui ne déploient pas le moindre effort afin de gagner leur pain quotidien à la sueur de leur front et à la force de leurs bras... Une telle attitude est uniquement due au fait qu’ils s’en dispensent pour compter ensuite sur le travail d’autrui. » [Al-Bukhârî et Muslim], b) Ibn cAbbâs rapporte qu’« une femme prit le bateau et fit à Allah le vœu de jeûner un mois si celui-ci la ramenait indemne sur la terre ferme. Par ailleurs, Al-cIzz Ibn cAbdus-Salâm a dit dans Al-Fatâwâ (24/2) : « Lorsque quelqu’un accomplit un acte d’obéis­sance puis entreprend d’en offrir la récompense à une personne, vivante ou morte, la dite récompense ne parvient pas à la personne visée, car : « Et en vérité l’homme n’obtient que le fruit de ses efforts ». Celui-ci lui dit alors : [« T’acquitterais-tu de sa dette si elle était endettée ? Paix et salut sur Son Prophète. Il contient plusieurs courts articles d'information traitant de divers aspects de l'islam. L’une de ses proches [sa soeur ou sa fille] se présenta alors au Prophète. Pour nous contacter à travers Telegram: https://t.me/islam_ms
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