Pour éviter que ce progrès soit contre-productif, il est donc nécessaire de le combiner à des politiques publiques efficaces, qui prennent en compte les enjeux liés à l’éco-conception des appareils connectés. Si le rapport de France Stratégie déplore un "manque flagrant d’études" sur ce secteur, il est en revanche déjà possible de dire que la consommation énergétique des équipements IoT devrait être l’une des plus importantes à l’horizon de 2030. Côté usage, malgré des prévisions mondiales à la hausse, la mission constate qu’en France l’impact des TIC (de 7 à 8% de la consommation électrique nationale) est en légère baisse par rapport à une étude précédente … À titre de comparaison, sur cette même période, la consommation électrique mondiale a crû d’un peu moins de 10 % … Ce chiffre peut déjà paraître significatif, mais il est très probable qu'il augmente encore : en effet, il est estimé que la consommation énergétique du numérique pourrait croître de 10 % par an, pour représenter entre 5700 et 7300 TWh par an à l’horizon de 2025. Or, cette augmentation entraîne inévitablement une explosion du trafic Internet, qui engendre à son tour une hausse de la consommation énergétique. La consommation énergétique du numérique a donc tout pour évoluer de manière exponentielle. D’un côté vous mettez en ligne un article démontrant une consommation énergétique du numérique de plus en plus élevée…. Le secteur aérien, réputé secteur très pollueur, représente 2% de ces émissions. >Twitter
Face à une facture énergétique toujours plus élevée, la solution généralement prescrite est le "progrès technologique" : en améliorant et en optimisant les technologies existantes, on les rend plus efficaces, et donc moins consommatrices d'énergie. L’étude montre qu’à ce rythme, le numérique aurait besoin, en 2040, de la totalité de l’énergie mondiale produite en 2010. De l’autre vous mettez 4 étoiles sur 5 pour la consommation d’une RTX 3080 (370 WATTS !! Au programme : label, étude d'impact et réduction de la consommation énergétique des data centers. Une consommation énergétique du numérique toujours à la hausse Le numérique engloutit près de 10 % de la consommation mondiale d’électricité et cette consommation augmente chaque année. Comme on peut s'y attendre, cela n’est pas suffisant... Même le progrès technologique permet d'optimiser les appareils, infrastructures et logiciels existants, il a souvent pour objectif premier l’augmentation des débits Internet. Accueil; Articles. Ce n'est donc pas précisé, mais le coronavirus a certainement eu de l'influence sur le coût énergétique global du numérique : la consommation de bande passante au premier trimestre 2020 a augmenté de 47 % par rapport à la même période sur 2019 (source : OpenVault), et il y a de fortes chances que cette augmentation se soit répercutée sur la consommation énergétique du secteur. Cette consommation d’énergie par le numérique n’est pas donc pas soutenable, et si rien ne change, elle pourrait même compter pour 4,5 % de la consommation mondiale d’énergie en 2025. Ordinateurs, tablettes, capteurs et autres objets connectés, smartphones, réseaux sociaux, 3G, 4G, fibre, monnaies cryptographiques, blockchain, intelligence artificielle, démarches dématérialisées et autres portails web… Les services que propose à tous cette « révolution numérique », sont en très forte augmentation. NUMÉRIQUE DANS LE MONDE EN QUELQUES CHIFFRES y 34 milliards d’équipements connectés en 2019.1 y La consommation énergétique du numérique progresse de 9 % par an.2 y Plus de 3 %, c’est l’estimation des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES) du numérique - c’est supérieur au transport aérien qui est à 2 %.3 La quantification de l’impact environnemental des actions numériques a une portée illustrative en proposant des ordres de grandeur pertinents qui permettent de donner une quantification physique à des actions « virtuelles ». Toutes les étapes du cycle de vie d’un objet, depuis l’extraction des matières premières qui le composent jusqu’à son élimination en fin de vie, génèrent des émissions de CO₂. Toute la chaîne de fabrication de ces équipements carbure aux énergies fo… À cette consommation liée aux usages, il faut ajouter, dans une analyse en cycle de vie (ACV), la consom-mation d’énergie nécessaire à la fabrication des équipements et à leur traitement en fin de vie. L’énergie grise représente la quantité d’énergie consommée lors du cycle de vie d’un appareil, à l’exception de son usage. Présentés comme des ogres énergétiques par la presse, les datacenters ne représentent que 18 % de la consommation d’énergie du numérique. Selon la 14e enquête annuelle mondiale PwC Power & Utilities, 73% des entreprises du secteur énergétique anticipent une transformation majeure ou radicale de leur business model d’ici 2030. Quelle empreinte écologique pour l'informatique ? Cette statistique ne prend pas en compte les énergies auto-consommées (bois, pompes à chaleur, solaire thermique, etc. Elle délivre également des conseils pratiques pour diminuer limpact de sa consommation lié aux usages numériques (un autre ouvrage publié par lAdeme détaille « les éco-gestes informatiques au quotidien »(1)). Note : résultats en %. Cette empreinte inclut l’énergie de fabrication et d’utilisation des équipements (serveurs, réseaux, terminaux). Le développement rapide du numérique génère une augmentation forte de son empreinte énergétique directe. L’Internet des objets (IoT) est un bon exemple : beaucoup d’objets connectés sont déjà disponibles, mais les marchés potentiels (sécurité, santé, mobilité, industrie…) sont si nombreux qu’il est compliqué de saisir l’ampleur du phénomène. Cet impact carbone est généré principalement par la production des équipements électroniques et dans une moindre mesure par leur consommation énergétique. L’extraction des minerais rares et leur transformation en composants électroniques peuvent représenter une part bien supérieure à l’énergie consommée au cours de la durée de vie des appareils. De plus, 40 milliards d’objets connectés sont prévus dans le monde d’ici 2020. Produit par The Shift Project à partir des données publiées par Andrae & Edler 2015. Le visionnage d’une vidéo en ligne de dix minutes induit par exemple une consommation électrique équivalente à la consommation propre d’un smartphone sur dix jours. Réduire la consommation énergétique du numérique 7 énergétique conduit The Shift Project à prédire une explosion de la consommation électrique mais une légèe vaiation d’un taux peut change complètement la pévision. 30 % de la consommation électrique est imputable aux terminaux type ordinateur ou smartphone, 30 % aux data centers qui hébergent nos données (photo) et 40 % aux réseaux, les « autoroutes de l‘information ». Cela intègre notamment la production, l’extraction des matériaux, le transport et le recyclage. Produit par The Shift Project. L’empreinte énergétique directe du numérique augmente de 9 % par an. Elle se répartissait en 32,3 % de pétrole, 28,3 % de charbon, 24,0 % de gaz naturel, 4,4 % de nucléaire et 11,5 % d'énergies renouvelables (hydroélectricité 6,8 %, éolien 2,1 %, biomasse et géothermie 1,0 %, solaire 0,95 %, agrocarburants 0,6 %). Selon le livre blanc numérique et environnement, « la fabrication d’un téléphone portable requiert 60 métaux différents, dont une vingtaine seulement sont actuellement recyclables, et seulement 16 % des téléphones sont collectés pour être dépollués ». Avec le déploiement de la 4G, qui consomme 23 fois plus d’énergie qu’une connexion ADSL, la consommation du réseau devrait selon NégaWatt augmenter de 10 % par an sur les 15 prochaines années. Le secrétaire d’Etat au numérique, Cédric O, a insisté à plusieurs reprises sur le gain énergétique que représenterait la 5G. Une affirmation exagérée. GÉNÉRÉES PAR LE NUMÉRIQUE : 53 %DUES AUX DATA CENTERS ET 47 % DUES AUX ÉQUIPEMENTS AUX INFRASTRUCTURES RÉSEAU DES CONSOMMATEURS des 16-24 ans sont adeptes du streaming audio (Panorama IFPI de la consommation de musique dans le monde, 2019) 83 % c'est la consommation d’une box soit autant qu'un grand réfrigérateur 150 à 300 kWh/an La production mondiale d'énergie commercialisée était en 2018, selon BP, de 13 865 Mtep, en progression de 18,5 % depuis 2008. Le smartphone constitue l’un des marqueurs emblématiques du développement du numérique. Une consommation élevée, en partie expliquée par une augmentation générale de l’utilisation d’Internet, ainsi que par l'explosion des connexions sur mobile. Les équipements des utilisateurs (ordinateurs, tablettes, smartphones, box internet) représentent les trois-quarts de la consommation d’énergie du numérique (45 TWh). En France, la consommation énergétique est de 476 TWh et l’électricité représente environ 25 % de l’énergie finale. ; les serveurs et appareils de stockage de données qui fournissent les différents services numé-riques : grandes entreprises du numérique, administrations, entreprises, PME, start-up ; ces ser-veurs étant globalement regroupés dans d’importants centres d’hébergement (les datacenters). Aujourd’hui, seuls 40 % de la population ont accès à Internet (en 2035 près de 90 % de la population mondiale pourra en profiter). Fabrice Flipoest professeur en philosophie sociale et politique, épistémologie et histoire des sciences et techniques, Institut Mines-Télécom Business School. C’est le résultat d’un investissement important des constructeurs depuis près de dix ans … NOTA : Ces chiffres, provenant principalement des travaux du think tank The Shift Project et de la communauté GreenIT, constituent des estimations, ce qui explique que d’autres chiffres peuvent circuler. En bref, négaWatt estime que le développement du numérique ses 15 prochaines années aura un impact modéré sur la consommation électrique du pays. Cela crée une demande supplémentaire en énergie pour les faire fonctionner. Attention, la hausse décrite n’a pas de lien avec la pandémie, car le rapport a été écrit avant. Au total, le numérique consomme 10 à 15 % de l’électricité mondiale, soit l’équivalent de 100 réac… Par Sarah Sermondadaz le 09.03.2018 à 11h12 Lecture 4 min. Engagements, réglementations, stratégies et plans d’actions, Biodiversité - Bases de données de référence, Évaluation 2000-2010 des sites humides en France, Évaluation nationale des sites humides emblématiques (2010-2020), Comprendre les enjeux de la pollution de l’eau, Qualité des eaux souterraines et superficielles - Bases de données de référence, Comprendre les enjeux de la pollution de l’air, Qualité de l’air - Bases de données de référence, Exposition aux effets sanitaires du changement climatique, Pressions exercées par les modes de production et de consommation, Utilisation des ressources naturelles en France, Usages de matières potentiellement polluantes, Pratiques agricoles respectueuses de l’environnement, Comprendre l’emploi dans l’économie verte, Les dépenses en faveur de l’environnement, Éducation à l’environnement et au développement durable, La concentration spatiale et saisonnière du tourisme. Pour ce faire, une mise à jour du cadre législatif français sur le numérique s’impose : le 14 octobre dernier, Patrick Chaize, Guillaume Chevrollier et Jean‑Michel Houllegatte ont déposé une proposition de loi au Sénat, qui vise à "réduire l’impact environnemental du numérique en France". Sa première … Champ : Ensemble de la population de 12 ans et plus, Source : CREDOC, Enquête sur les « Conditions de vie et les Aspirations ». Comme l’expliquent les auteurs de l’étude, dans la majorité des cas, les études existantes sont "insuffisantes, car souvent anciennes, trop fragmentées et difficilement comparables, pour pleinement éclairer les pouvoirs publics sur les tendances et les moteurs de cette consommation". Selon le rapport du Shift Project « cette part pourrait doubler d’ici 2025 pour atteindre 8% du total - soit la part actuelle des émissions des voitures. La consommation d’énergie directe occasionnée par un euro investi dans le numérique a augmenté de 37 % depuis 2010. Sur les 56 TWh : NégaWatt estime que la consommation électrique du numérique devrait augmenter de 15 TWh d’ici à 2030, soit +25 % par rapport à 2015 et porterait ainsi la part du numérique à environ 15 % de la consommation électrique du pays. Numérique : le grand gâchis énergétique. >Linkedin
C’est une énergie « cachée », car le consommateur n’en a pas connaissance. «La croissance énergétique du numérique est particulièrement forte comparée à la croissance de la consommation énergétique mondiale tous secteurs confondus : en 2017, le numérique représente environ 2,7 % de la consommation globale d’énergie finale au niveau mondial et devrait en représenter en 2025 entre 4,7 % et 6 %, soit un quasiment doublement par rapport à 2017». Ainsi de récentes études, réalisées entre autres par The Shift Project et l’ADEME, indiquent que le numérique représente 3,7% des émissions de CO2 mondiales, pourcentage en augmentation constante depuis 2007. L’intensité énergétique de l’industrie numérique augmente de 4 % par an: une hausse à contre-courant de l’évolution de l’intensité é… Ordinateurs, tablettes, capteurs et autres objets connectés, smartphones, réseaux sociaux, 3G, 4G, fibre, monnaies cryptographiques, blockchain, intelligence artificielle, démarches dématérialisées et autres portails web… Les services que propose à tous cette « révolution numérique », sont en très forte augmentation et demandent de l’énergie pour fonctionner. Si les progrès ont été considérables en matière d’efficacité énergétique, l’impact du numérique va peser de plus en plus lourd sur la consommation d’énergie et nos rejets de gaz qui réchauffent le climat. Le Conseil général de l'économie a analysé en 2019 l’impact énergétique du numérique en France. Ainsi, selon le Shift Project, en seulement cinq ans, entre 2013 et 2017, la consommation globale du numérique a augmenté de 50 %, passant de 2 000 à 3 000 TWh par an. Un rapport récent, qui porte sur la France, laisse penser que l’essor des data cent… Pour faire le point sur cet impact, dans tous ses aspects (et pas uniquement la consommation électrique des data-centers), France Stratégie a publié, ce 30 octobre 2020, une étude sur les usages du numérique, au niveau mondial, et leur impact sur l’énergie. les appareils à disposition des utilisateurs : ordinateurs, tablettes, smartphones, écrans, objets connectés, box internet, décodeurs TV, etc. 56 TWh en 2015 En 2015, en France, le numérique a consommé environ 56 TWh d’électricité sur un total de 476 TWh, soit environ 12 % de la consommation électrique du pays. Elle est en progression rapide, de 9 % par an. De plus, si la consommation énergétique peut être optimisée lors de l’utilisation d’appareils, il est plus difficile de réduire la quantité d’électricité utilisée lors de leur production, étape qui représente pourtant près de 45 % de la consommation totale du secteur. Distribution de la consommation énergétique du Numérique par poste en 2017, Source : Lean ICT Materials Forecast Model. Energie numérique : la fabrique à CO2.0 : c’est le coûteux problème que La Méthode scientifique va décortiquer dans l’heure qui vient. L’évolution des émissions de gaz à effet de serre (GES) suit cette tendance : 2,5 % du total des émissions mondiales en 2013, 3,7 % en 2017. La consommation énergétique du numérique est celle liée à la consommation électrique de ces différents équipements. Présentés comme des ogres énergétiques par la presse. Selon The Shift Project, 90 % des Gaz à effet de serre (GES) associés à un smartphone proviennent de la phase de fabrication. Selon elles, la consommation énergétique mondiale liée au numérique est passée de 2 000 à 3 000 térawattheures (TWh) par an, entre 2013 et 2017, pour s’établir à 14 % de la consommation électrique et environ 2,7 % de la consommation globale d’énergie finale au niveau mondial. Pour un smartphone, cela représente cinq fois la consommation de l’appareil, dont la durée de vie est estimée en moyenne à 18 mois. La courbe en pointillées porte sur les 18 ans et plus ; à partir de 2003, la courbe porte sur les 12 ans et plus. A scenario inchangé, la proportion de la consommation énergétique du numérique sur la consommation énergétique mondiale passerait ainsi de 2,7 % en 2017 à 3,3 % en 2020 et pourrait atteindre 4 % en 2025 voire 6 % si les progrès en matière d'efficacité énergétique ralentissaient. L’énergie grise constitue l’essentiel du bilan complet énergétique des équipements utilisateurs. La part du numérique dans la consommation finale d’énergie (elle-même en croissance de 1,5 % par an) augmenterait ainsi de presque 70 % entre 2013 et 2020. En se fondant sur des statistiques du think tank The Shift Project, les auteurs de l’étude expliquent que la consommation globale du numérique a augmenté de 50 % entre 2013 et 2017, passant … Les conclusions montrent une stagnation lié à un contexte de plein équipement des ménages français, en opposition avec la croissance mondiale de la consommation du numérique. GreenIT estimait qu’en 2015 le numérique consommait environ 56 TWh, ce qui représente environ 12 % de la consommation électrique du pays et 3 % de la consommation d’énergie finale. Dans ce guide pratique mis en ligne le 15 juin, lAdeme rappelle les différents postes de consommation de la « galaxie numérique » ainsi que ses effets sur lenvironnement. C’est ce qu’on appelle le poids carbone. L’étude de 2019 sur l’impact énergétique du numérique en France repose sur des études mondiales, sur des analyses (EDF, ADEME) et sur des statistiques de ventes d’équipements en France. Et dans le pire des scénarios (si les quelques progrès constatés par les auteurs du rapport ne se confirmaient pas), elle atteindrait le chiffre de 6% à cette même date. Consommation d’énergie des actions numériques, Source : Lean ICT Materials REN”, onglet “REN Run Phase”. Deux technologies émergentes, comme les cryptomonnaies ou les objets connectés, risquent d'accroître encore cette consommation d’énergie. Comme mentionné, son impact provident en partie de la consommation d’énergie lors de son utilisation mais de façon beaucoup plus importante de l’énergie nécessaire à sa fabrication. Si Internet était un pays, il serait le 3ème plus gros consommateur d’électricité au monde avec 1500 TWH par an, derrière la Chine et les Etats-Unis. L’utilisation des technologies numériques représente à elle seule plus de 10 % de la consommation mondiale d’électricité. Des scientifiques soulignent le fonctionnement peu optimisé et très énergivore de ce secteur depuis déjà longtemps. Taux d’équipement en téléphone mobile et smartphone et accès au réseau 4G. Journaliste stagiaire d'août à décembre 2020. 43 TWh pour les équipements utilisateurs à usage personnel ou professionnel (ordinateurs, ta-blettes, smartphones, box d’accès à internet, etc. De plus, certaines technologies en plein essor manquent encore d’applications, ce qui limite encore plus le nombre d’études. >Facebook
Une feuille de route classique assez éloignée de la réalité scientifique. France Stratégie fait le point dans son dernier rapport. C’est bien tout le problème du numérique qui représente aujourd’hui une part exponentielle de la consommation énergétique mondiale. En dépit des quelques statistiques que nous venons d’évoquer, force est de constater que le manque de connaissances sur le réel coût énergétique du numérique rend difficile son évaluation. Dit autrement, l’impact énergétique du visionnage de la vidéo est environ 1 500 fois plus grand que la simple consommation électrique du smartphone lui-même. En effet, ces appareils sont souvent produits en masse, et doivent être connectés à Internet en permanence pour fonctionner, ce qui nécessite une grande quantité d’énergie. "La consommation énergétique du numérique augmente actuellement de 9 % par an, malgré d'importants progrès réalisés en termes d'efficacité, souffle Hugues Ferrebœuf, du … Le numérique totaliserait 3,4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2017 et 7,6% en 2025. ), donc vous encouragez sciemment les constructeurs à vendre ce type de produit energivore. Selon un rapport publié par France Stratégie en octobre 2020, le numérique occupe une place de plus en plus importante en matière de consommation énergétique. Ils constituent cependant un ordre de grandeur pertinent. The Shift Project estime que l’empreinte numérique, en progression annuelle de 9 %, n’est pas soutenable au regard des besoins en énergie et à l’approvisionnement en matériaux rares. Le premier aspect de cette transformation concerne l’amélioration de la performance économique et opérationnelle des infrastructures des réseaux de transport et de distribution d’énergie. Explore les mondes imaginaires à la recherche de technologies qui n'existent pas encore. ; les infrastructures du réseau qui permettent le transport des données nécessaires aux services numériques : antennes relais (3G, 4G), câbles sous-marins, fibres optiques, routeurs, répartiteurs, firewall, etc. Ces dernières années, la quantité d'énergie utilisée par le secteur du numérique a fortement augmenté, tant du côté de la production des appareils connectés que de leur utilisation. >WhatsApp
Consommation d’énergie et numérique. Lorsque l’on souscrit un contrat d’énergie, chez EDF ou un fournisseur autre, on peut logiquement penser que c’est notre consommation courante qui utilise le plus d’énergie, mais à tort ! Des efforts sont donc nécessaires auprès des fabricants pour les rendre plus durables, réparables et recyclables, mais aussi auprès des consommateurs pour allonger la durée d’usage. ), qui selon l'Age… Back; Informatique; Codage à l'école ; Internet - Web 2.0 - Cloud ... les études ou dans le monde du travail. Parmi les principales mesures suggérées, on y retrouve la limitation du renouvellement des terminaux numériques et l’obligation d’éco-conception des principaux sites Internet français. Numérique et écologie : les data centers, des gouffres énergétiques ? D’autre part, la croissance exponentielle de ce secteur : La consommation énergétique du numérique augmente de 9% par an . La mission est donc estée pudente su les pespectives de coissance de l’impact énegétiue des Partager
Les iPhone soulignent l'ambiguïté de l'indice de réparabilité, Netflix, Amazon Prime Video, OCS, Apple TV+, Disney+ : à ne pas rater en juillet, Tout savoir sur le nouvel indice de réparabilité, Connectez-vous pour poster un commentaire. ), 3,5 TWh pour le cœur du réseau (composants techniques pour relier les datacenters aux usagers, 3G, 4G, etc.). En se fondant sur des statistiques du think tank The Shift Project, les auteurs de l’étude expliquent que la consommation globale du numérique a augmenté de 50 % entre 2013 et 2017, passant de 2000 à 3000 TWh par an. >Partager par mail. Évolution de la consommation énergétique mondiale du numérique entre 2010 et 2036, rapportée à la consommation énergétique mondiale totale, Source : Scénarios et calculs The Shift Project 2018, à partir de Andrae & Edler 2015. À titre d’exemple, cela représentait 2,7 % de la consommation mondiale d’énergie en 2017, c'est-à-dire les consommations d’électricité annuelles combinées de l’Inde, de la Russie et du Japon. Dans ce cycle de vie, c’est la fabrication d’un appareil qui demande le plus d’énergie, bien plus que celle nécessaire ensuite à le faire fonctionner. Les scientifiques estiment que l’on produira 50 fois plus de données en 2020 qu’aujourd’h…