Dans le fond des forêts allaient-ils se cacher ? L’aveu de la princesse est exceptionnel comme le montre le champ lexical de l’héroïsme avec les mots « force » « périls » « nulle marque de faiblesse » « je ne craindrai pas » « dangereux » « digne » et « trop noble ». Phèdre vient d’apprendre qu’Hippolyte , dont elle est amoureuse, aime Aricie. Ce tigre, que jamais je n'abordai sans crainte, Souligner aussi la cruauté de ces paroles de la princesse : l. 9 : Trois impératifs juxtaposés qui la placent sous l’autorité, la bienveillance charitable de son mari, recherche d’un deuxième guide spirituel (après sa mère ) cf « conduisez-moi », L. 10 à 13 : La réaction de Monsieur de Clèves face à cet aveu, 2èmemoment marqué par retour à la ligne et aux temps du récit. Cf « l’innocence de ma conduite et des mes intentions » : elle ne s’estime pas coupable, ce qui explique son aveu. Elle fait également appel à l’émotion de M. de Clèves en évoquant des circonstances atténuantes telles que la mort de sa mère et son jeune âge et s’infligeant elle-même sa peine. L. 10 à 13 : Réaction de M de Clèves face à cet aveu, - Prise de parole, discours direct qui donne plus de force à cet aveu (la transcription directe des paroles les rend plus émouvantes) et qui marque le caractère exceptionnel, inouï de cet aveu au 17, Premiers mots : « un aveu que l’on n’a jamais fait à son mari » : hyperbole = geste exceptionnel, inédit, Mise en avant de son courage, de sa fermeté, qui oppose les « actions » aux « sentiments » qu’elle garde (inclination pour Nemours) cf « si j’ai des sentiments qui vous déplaisent », qui emploie les mots « amitié », « estime », « me conserver digne d’être à vous » = devoir marital, obligations morales pour évoquer sa relation au prince, si vous êtes capable de la même hauteur morale que moi, Fermeté du discours de la princesse : cf connecteurs logiques, reprises de termes (ex : « quelque dangereux que soit le parti que. Je l'ai donc reprise hier et complétée. Fut dame d’honneur d’Anne d’Autriche. Elle parle de la "cour", puis de "faiblesse". La jeune femme combat cette passion mais une nouvelle rencontre entre les deux personnages ravive cet amour. La Princesse de Clèves est paru en 1678 sans nom d’auteur car le roman est un genre déconsidéré à cette époque. Elle côtoie les grands de son temps puisqu’elle est dame d’honneur d’Henriette d’Angleterre. 1èreréaction de M de Clèves : état de prostration [= passivité, accablement physique, état de faiblesse, effondrement] = retentissement de cet aveu dans sa psyché. Le lecteur y découvre les pouvoirs de la passion amoureuse grâce à une analyse qui brille par sa finesse. Cruauté des termes pour M. de Clèves MAIS aussi preuve de confiance ou  délicatesse (implicite comme manière de le ménager), Pitié et admiration (2 sentiments caractéristiques de la tragédie). Personnage pathétique dominé par une force supérieure (passion) et qui ne trouve que la retraite comme solution pour garder sa vertu. Je me cachais au jour, je fuyais la lumière. La Princesse de Clèves paraît, anonymement, en 1678. Si elle ne l’affirmera jamais publiquement, elle avouera, à demi-mots, l’avoir écrit dans une lettre. Tirade de Mme de Clèves qui affirme son aveu et la justifie. Son aveu est pudique et sa passion pour le duc de Nemours n’est évoquée qu’au moyen de l’euphémisme « et si j’ai, qui vous déplaisent, du moins je ne vous déplairai jamais par mes actions ». Les caractéristiques de la tragédie sont présentes à travers le champ lexical de la douleur « demeuré » « la tête appuyée sur ses mains » « larmes » « mourir de douleur » et la gestuelle tragique « la tête appuyée sur ses mains » « à ses genoux » « l’embrassant en la relevant ». Etude de la gestuelle : « demeuré », « la tête appuyée sur ses mains » : position qui renvoie codes picturaux du désespoir. Le roman, récit du Moyen Âge au XXIe / parcours, individu, morale, société-Question de grammaire-subordonnées de concession-analyse linéaire … D’abord, La princesse de Clèves est un roman écrit de manière anonyme par Mme de La Fayette en 1678. Sa vie littéraire commence en 1662 avec la publication sous pseudonyme de la nouvelle La Princesse de Montpensier, puis d’un roman précieux, Zaïde, en 1670. Les deux personnages sont vertueux : Mme de Clèves avoue sa passion pour un autre pour mieux y résister et M de Clèves ne cherche pas à se venger de cet aveu qui le met au désespoir. Vous ferez attention au redécoupage de l'extrait que j'ai raccourci. Analyse linéaire de La Princesse de Clèves de « Eh bien, Monsieu […] à son mai » La Princesse de Clèves est une des œuves pincipales de madame de Lafayette malgé u’elle l’ait publié anonymement suite son statut, le fait u’elle soit à la cou auait pu la faie passe pou une citiue politi ue. La Princesse promet en effet un aveu au début de l’extrait au présent à valeur de futur proche « je vais vous faire un aveu » mais ne prononce jamais le nom de son amoureux. Importance de la bienséance qui explique cette passion avouée à demi-mots. Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Elle épouse en 1655 le comte de La Fayette et tient salon à Paris. Nb elle reprend les mêmes mots que sa mère avait utilisés pour la mettre en garde contre les dangers de la Cour. M. de Clèves va deviner le nom de l’amant de sa femme (voyage royal) et soupçons d’adultère (scène du pavillon). Hippolyte aime, et je n'en puis douter. Que faut-il retenir de cette oeuvre pour le bac de français ? Conclusion : passage qui n’est pas qu’une simple transition mais annonce, éclaire les paroles du prince. Elle a écrit deux romans, dont. L'héroïne éponyme, modèle de beauté et de vertu, a épousé un homme par estime et non par amour. La Princesse de Clèves publié e… Cours de français 601 et 605, Catherine Bellet, Lycée Balzac, Tours, Publié le Famille de petite noblesse. de son mari en donnant une image positive d’elle-même à travers le champ lexical de l’innocence qui inclut les mots « innocence » « conduite » « intentions » « force » « nulle marque de faiblesse ». , roman précieux où domine l’analyse psychologique. Possibilité aussi pour ceux qui connaissent la pièce de Racine, Phèdre (mais vous avez le temps de la lire ou de trouver un résumé) de rapprocher ce passage de la scène 6 de l’Acte IV. Pourquoi me laissais-tu séduire ? Commentaire composé sur La scène de l'aveu dans La princesse de Clèves de Madame de La Fayette. Cet aveu est par ailleurs plus une défense qu’un aveu d’une culpabilité et excepté la demande de « mille pardons » dans une formule très convenue, la princesse de Clèves, dans cet aveu, est avocate d’elle-même et utilise tous les dispositifs rhétoriques traditionnels. Ceci donne une théâtralité au passage. Introduction: “Princesse de Clèves aveu à son mari”. Textes complémentaires : la querelle de l’aveu. NB : Le duc de Nemours, caché, écoute leur échange. C’est en définitive un aveu où elle n’avoue pour ainsi dire rien et clame son innocence. Elle a écrit deux romans, dont La Princesse de Clèves, roman précieux où domine l’analyse psychologique. Marie-Madeleine Pioche de la Vergne naît en 1634 dans une famille de la petite noblesse. Tient salon. Et moi, triste rebut de la nature entière, Objet de débat : Qui est le plus admirable des deux ? L'aveu de le princesse de clèves analyse lineaire. Auteur de La Princesse de Clèves, Zaïde, La Princesse de Montpensier Elle publie La Princesse de Clèves en 1678 (Classicisme), ro… Dans ce roman, l’action se passe à la cour d’Henri II en 1558 et de François II en 1559 : une jeune fille de l’aristocratie, Mademoiselle de Chartres a reçu une éducation exemplaire et vertueuse. Uniquement disponible sur LaDissertation.com, L'aveu De La Princesse De Cleves A Son Mari, Incipit De La Princesse De Clèves, Analyse, Commentaire Littéraire sur le roman La princesse de Clèves de Madame de la Fayette: La Scène De L'aveu, Commentaire Littéraire sur La Scène De L'aveu dans le roman La Princesse De Clèves de Madame de la Fayette, Analyse Du Portrait De La Princesse De Clèves (roman) de Mme de Lafayette, Analyse De La Princesse De Clèves de Marie-Madeleine de La Fayette, Analyse du roman La Princesse de Clèves de Mme de Lafayette, La Rencontre De La Princesse De Clèves Et Du Duc De Nemours, Analyse portrait de Mlle de Chartres, la princesse de Clèves, Mme de Lafayette, Analyse de l'incipit de la princesse de Clèves, Analyse littéraire de La Princesse de Clèves, Commentaire Oral, Analyse de l'Incipit, La Princesse de Cleves, Bac de Français, La princesse de Clève: citation - ligne - procédés -analyse, Analyse linéaire: La Princesse de Clèves: extrait de l'aveu de La princesse de Clèves à son mari, Commentaire Composé La Princesse De Cleves. Pur amour qui le conduira à la mort et elle à la retraite totale. La jeune femme combat cette passion mais une nouvelle rencontre entre les deux personnages ravive cet amour. Mademoiselle de Chartres a reçu uneéducation vertueuse et exemplaire. Le lui dire en s'adressant à lui, en tête à tête, est très difficile. Eléments pour l’introduction : -Madame de Lafayette : 1634-1693 de son vrai nom Marie-Madeleine Pioche de La Vergne. La princesse n'admet pas tout de suite. Malgré ce même exil qui va les écarter, après rédaction commune d’une lettre avec Nemours, scène la + célèbre et la plus controversée du roman / question de la nécessité  et du caractère vraisemblable de cet aveu + moralité. Ecrit par Madame de La Fayette, une figue de la noblesse proche de Madame de Sévigné ou de La Rochefoucault, la Princesse de Clèves rencontre immédiatement le succès. Il s'agit de la scène où la princesse avoue à son mari son amour pour un autre homme. La Princesse de Clèves paraît, anonymement, en 1678. douleur non encore éprouvée ! Dans un premier temps, elle refuse en prétextant son besoin de repos, ce qui paraît suspect à son mari. Choc de cet aveu inattendu : « hors de lui-même » - « il n’avait pas songé » → plus de respect du code social, D. Pitié et admiration (2 sentiments caractéristiques de la tragédie), Cf « visage couvert de larmes, « beauté si admirable » : reconnaissance en la princesse de Clèves d’une héroïne tragique. Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, A l’aveu de la Princesse de Clèves succède un tableau digne de la tragédie. Ils bravent la fureur d'une amante insensée. Il remporte un grand succès. Phèdre Lorsque le texte paraît, elle est proche du groupe de Port-Royal, haut lieu du jansénisme qui véhicule une vision pessimiste de… Qu'offensait le respect, qu'importunait la plainte, « Et qui ? mais il met aussi en avant sa douleur, son désespoir à travers des tournures hyperboliques : « affliction aussi violente » - « le plus malheureux homme » → personnage pathétique et admirable, L. 17-19: Lucidité de M de Clèves, personnage pathétique, - souvenir de la scène de première rencontre, - paroles de celui qui voudrait être un amant, et non pas seulement un  mari « vos rigueurs et votre possession n’ont pu l’éteindre » : renvoie au feu de la passion amoureuse, violente qu’il éprouve pour elle, - Aveu d’impuissance : « je n’ai jamais pu vous donner de l’amour  et je vois que vous craignez d’en avoir pour un autre ». Entraînez-vous ensuite à le présenter à l'oral en respectant le temps imparti : 10 minutes. EXPLICATION LINÉAIRE Madame de Lafayette, La Princesse de Clèves, IV — Je veux vous parler encore avec la même sincérité que j'ai déjà commencé, reprit-elle, et je vais passer par- dessus toute la retenue et toutes les délicatesses que je devrais avoir dans une première conversation, mais je vous conjure de m'écouter sans m'interrompre. J'attendais le moment où j'allais expirer ; Alors en quoi cette scène d’aveu montre-t-elle que Mme de la Fayette est une moraliste ? La romancière participe à des salons mondains tels que celui de Mme de Rambouillet où naît et se développe une esthétique précieuse. Si elle ne l’affirmera jamais publiquement, elle avouera, à demi-mots, l’avoir écrit dans une lettre. Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence ; Madame de La Fayette publie en 1678 La Princesse de Clèves, un roman historique qui se déroule au XVIème siècle entre octobre 1558 et novembre 1559 à la cour du roi Henri II puis de François II. la douleur de Phèdre se change en colère folle, en désir de vengeance contrairement à M. de Clèves qui écarte toute idée de vengeance. Formulation générale, tournure impersonnelle (« où se trouvent quelquefois les personnes de mon âge » : pluriels + présent de vérité générale)= jeu sur l’implicite, les dangers de la galanterie. Et sous un front serein déguisant mes alarmes, Femme de lettres 2. De plus, dès début de son intervention, lié à la proposition incise « lui répondit-elle » : le 1 er geste de la Princesse dramatise l’instant : « se jetant à ses genoux » (l. Les a-t-on vus souvent se parler, se chercher ? Les verbes à l’impératif « conduisez-moi » « ayez pitié » et  « aime-moi » semblent même montrer qu’elle garde la maitrise de la situation malgré une confession qui la met théoriquement en position de faiblesse. M de Clèves est mort de douleur, se croyant trompé. Oenone ; prends pitié de ma jalouse rage ; NB : Aveu déjà envisagé à deux reprises : Ou : En quoi cette scène de l’aveu met-elle en scène deux personnages sublimes ? … Lisez ce Art Commentaire de texte et plus de 250 000 autres dissertation. Les élèves de 605 m'ont demandé hier de redonner l'étude linéaire d'un des extraits de La Princesse de Clèves. Elle tente de résister, se réfugie à la campagne (Coulommiers) mais son mari la presse de regagner Paris, la Cour (et donc Nemours). Elle s’inscrit en cela dans le goût de la préciosité pour les énigmes, qui a profondément influencé Madame de La Fayette et comme une précieuse mondaine, elle propose une énigme à M. de Clèves qui se prête au jeu et y répond. Comment se sont-ils vus ? Quel fruit recevront-ils de leurs vaines amours ? A. Hélas ! I. L’aveu singulier de la Princesse de Clèves : (jusqu’à « aimez-moi encore, si vous pouvez »), Son aveu est pudique et sa passion pour le duc de Nemours n’est évoquée qu’au moyen de l’euphémisme « et si j’ai des sentiments qui vous déplaisent, du moins je ne vous déplairai jamais par mes actions ». Vit à la cour 4. Tu le savais. Son portrait est un cliché, celui de la Princesse, qui semble issue des contes de fées de Charles Perrault (même s’il n’éditera son recueil que bien après 1678, date de parution de La Princesse de Clèves). Le portrait de la princesse de Clèves renvoi à une double idée : une personnalité exceptionnel mais aussi une grande fragilité. Ils s'aiment ! Par quel charme ont-ils trompé mes yeux ? Lorsque le texte paraît, elle est proche du groupe de Port-Royal, haut lieu du jansénisme qui véhicule une vision pessimiste de l’être… Choix 19 : « Aujourd’hui maman est morte », un des incipits les plus célèbres de la littérature française. Mêmes consignes que d'habitude : imprimez le cours, travaillez-le avec le texte à côté de vous, recopiez-le et posez-moi toutes les questions que vous voulez. Nous verrons d’abord une scène d’aveu divisée en trois parties : le discours de Mme de Clèves, puis la réaction de son époux et enfin la réponse de ce dernier à cette nouvelle. Monsieur de Nemours va relater, lui,  la scène au vidame de Chartres. « je » impuissant, condamné à être spectateur (je vois) de la passion de sa femme pour un autre homme, l. 19 à 21 : Phrases interrogatives : expression de la jalousie, ● Accumulation de questions juxtaposées (4), interrogatoire pressant : identité/temps/manière. Elle l’avoue à son époux alors que le duc de Nemours est caché dans cette scène. Ils ne se verront plus. Dans ce roman, l’action se passe à la cour d’Henri II en 1558 et de François II en 1559 : une jeune fille de l’aristocratie, Mademoiselle de Chartres a reçu une éducation exemplaire et vertueuse. Une scène de tragédie : (de « Monsieur de Clèves était demeuré pendant tout ce discours » à « et l’embrassant en la relevant »). Non, je ne puis souffrir un bonheur qui m'outrage, Encor dans mon malheur de trop près observée, Présentation générale de l'oeuvre Mme de Lafayette : 1. Cet aveu n'est pas un aveu seulement au mari, mais aussi un aveu que la princesse se fait à elle-même. Rappels / Suite du texte = Aveu plein de conséquences : Acte héroïque, admirable de la Princesse ou acte faible et méprisable, égoïste ? La Princesse de Clèves, Madame de Lafayette, « Eh bien, Monsieur, lui répondit-elle, en se jetant à ses genoux… par la pensée qu’il était incapable de l’être », Attention : texte raccourci. Registre tragique. Point de vue de Bussy-Rabutin (aveu invraisemblable, extravagant, artificiel) / celui de Fontenelle (aveu nécessaire car seul moyen pour la princesse de se protéger de son penchant pour Nemours). Mélange contradictoire de stupeur et d’admiration, réaction à la mesure du caractère inouï de cet aveu. Et d'un cruel refus l'insupportable injure, La fureur de mes feux, l'horreur de mes remords, On peut, pourtant, considérer que Mme de Lafayette en est l’auteur. A quel nouveau tourment je me suis réservée ! A Paris, elle anime un salon littéraire et côtoie des hommes et des femmes de lettres. Elle fait un mariage de raison avec le Prince de Clèves (devenant ainsi la Princesse de Clèves) puis rencontre lors d’un bal le duc de Nemours dont elle tombe am… Abonnez-vous pour être averti des nouveaux articles publiés. Au moment que je parle, ah ! Sa description, son portrait et les effets qu'elle produit sur les autres traduisent la vision du monde de l'auteur. Elle fait un mariage de raison avec le Prince de Clèves mais rencontre à un bal le duc de Nemours dont elle tombe amoureuse. Elle côtoie les grands de son temps puisqu’elle est dame d’honneur d’Henriette d’Angleterre. ● Dernière phrase :  souligne sa douleur qui est ancienne et se trouve renouvelée, attisée par cet aveu qui lui montre son erreur : Mme de Clèves est  sensible mais pas à son mari qui prend, lui, csce de son sort. Cette évocation pudique de l’adultère correspond aux bienséances requises au XVIIème siècle. La Princesse de Clèves : - parut anonymement mais attribué à Mme de La Fayette en 1780 - probablement un travail d’écriture commun avec Mme de Sévigné et Laroche Foucaud - considéré comme 1er roman moderne de l’histoire - résumé : L’intrigue se déroule au 16e siècle à la cour d'Henry II (fils de … La princesse de Clèves l'aveu à Nemours, commentaire littéraire, linéaire, questionnaire, La Fayette, EAF 2021- quelles sont les marques de préciosité du roman ? Cf « vous me paraissez plus digne d’estime et d’admiration que tout ce qu’il y a jamais eu de femmes au monde ». II. » → question revient par la suite, cherche à savoir qui c’est, comment il a atteint son cœur. Problématique : En quoi peut-on parler d’une scène tragique ? Notre analyse de la scène de l'aveu dans La princesse de Clèves a été rédigée par un professeur de français.Publié anonymement en 1678, La Princesse de Clèves est un roman écrit par Marie-Madeleine de … En 1678 paraît un roman entouré de mystères, anonyme, et original pour l'époque par son court format : quatre tomes et quelques deux cents pages, là où les romans s'écoulaient sur plusieurs milliers de pages. Elle épouse en 1655 le comte de La Fayette et tient salon à Paris.